Norvège : Augmentation de la production de viandes

La production de viandes locales a augmenté de 4 % au cours de la 1ère moitié de l’année 2016, en comparaison avec la même période en 2015. La viande de porc, représente la plus grande part de la production et de l’augmentation aussi. D’après le Bureau des Statistiques, 159 900 tonnes de viandes ont été comptabilisées pour les 6 premiers mois 2016. Il s’agit de 69 311 tonnes de porc, 47 592 tonnes de volailles, 39 156 tonnes de bœuf, 3 616 tonnes de viande ovine, 36 tonnes de viande équinel et 164 tonnes d’autres viandes. La plus grande augmentation est enregistrée pour le porc, avec 5,5%, mais les autres types de viandes connaissent aussi une augmentation. Depuis 2011, c’est uniquement la production de bœuf qui a diminué en volume.

Brèves

Brésil : Augmentation prévue de la production brésilienne de viande de porc

03/10/2018

L’USDA prévoit que la production de viande de porc du Brésil devrait augmenter de 3 519 millions de tonnes en 2015 à 3 710 en 2016 (+ 5,4%) et 3 825 millions de tonnes en 2017 (+3,1%). La hausse de la production a pour moteur essentiel l'augmentation des exportations brésiliennes de viande de porc et, dans une moindre mesure, la demande du marché intérieur. En 2017, les exportations brésiliennes de viande de porc devraient augmenter de 9%, en grande partie grâce à une hausse des ventes à la Russie et à la Chine. Une progression est également attendue en Angola, au Japon, au Mexique et à Singapour. Par ailleurs, après 10 ans de négociations, la Corée du Sud a ouvert son marché aux importations de viande de porc en provenance du Brésil, qui devraient totaliser 35 000 tonnes par an.

Brèves

Ukraine : Le secteur du porc face à un futur incertain

03/10/2018

2015 a connu bon nombre de défis géopolitiques et économiques dans le secteur du porc ukrainien. Avec la menace d’étendue de maladies, cela signifie que le secteur fait face à un avenir incertain. Comme pour beaucoup d’activités en Ukraine, il est presque impossible de prévoir le futur immédiat du secteur du porc. En prenant l’exemple de la consommation, la consommation totale de porc et de produits élaborés à base de porc en Ukraine a atteint en 2013 un record avec 990 000 tonnes. En 2015, elle a chuté avec 890 000 tonnes. En 2016, elle ne devrait guère évoluer d’après l’Association ukrainienne des Producteurs de Porc (APP) alors que, pour certains, elle enregistrerait encore une chute avec 800 000 tonnes. En ce qui concerne la production, déjà en 2014, plusieurs élevages ont été créés, puis en 2015. La production a, donc, augmenté en passant de 765 000 tonnes en 2013 à 805 000 tonnes en 2015. L’APP prévoit même une hausse de 14% entre 2015 et 2020. Un autre acteur du marché prévoit, de son côté, une augmentation de la production d’environ 1,5 à 2%. Plus d’informations dans la Lettre de Veille Internationale viandes et produits transformés de novembre 2016.

Brèves

Brésil : L’USDA prévoit une augmentation de la production de viande de porc

03/10/2018

L’USDA prévoit une augmentation de la production brésilienne de viande porcine qui passerait de 3,519 millions de tonnes en 2015 à 3,710 millions de tonnes en 2016 et 3,825 millions de tonnes en 2017. Cela donne une progression de 5,4% en 2016 et de 3,1% en 2017. Cette augmentation résulte largement de l’anticipation de la hausse des exportations brésiliennes de viande de porc et d’un accroissement moindre de la demande sur le marché domestique. En 2017, les exportations de viande de porc devraient progresser de 9% grâce à des ventes plus importantes vers la Chine et la Russie. Elles devraient également enregistrer une hausse vers l’Angola, le Japon, le Mexique et Singapour. Après 10 ans de négociations, la Corée du sud a maintenant ouvert son marché à la viande brésilienne dont les exportations devraient atteindre 35 000 tonnes par an. La production de viande de porc au Brésil est principalement située dans 3 Etats, qui représentent ensemble presque 60% de la production. L’Etat de Santa Catarina est le seul Etat qui est reconnu indemne de Fièvre Aphteuse, ce qui explique que les exportations sont surtout concentrées dans cette région. La production de porc dans les Etats du sud est de manière prépondérante intégrée verticalement, ce qui explique pourquoi les éleveurs n’ont pas été autant touchés par l’augmentation des coûts des aliments du bétail que les producteurs indépendants.