Toutes les Analyses de Marchés

Estimé à 4,1 Mds EUR en 2021, le marché taïwanais des parfums et cosmétiques occupe la 7ème place au sein de la zone asiatique, après la Chine, le Japon, l’Inde, la Corée du Sud, l’Indonésie et la Thaïlande. La structure du marché taïwanais se caractérise d’abord par la dominance de l’offre étrangère, jusqu’à 70 % des produits cosmétiques. Les trois premiers pays fournisseurs, à savoir le Japon, la France, les États-Unis, représentent près de 55 % des produits importés. L'offre française jouit d'une très bonne réputation auprès des Taïwanais pour qui le « Made in France » demeure un gage de qualité et d'expertise dans le domaine de la beauté.

Plus gros marché mondial dans l'aviation commerciale, d'affaires ou légère, les hélicoptères ou encore les drones, l'Amérique du Nord fait face à de nombreux défis technologiques. Avec un chiffre d'affaires annuel de 400 Mds USD, et deux des trois capitales mondiales de l'aérospatial (Montréal et Seattle), les opportunités à saisir pour les entreprises françaises sont nombreuses.

Le marché japonais des produits cosmétiques se positionne, avec une valeur de 2 290 Mds JPY (soit environ 15,6 Mds EUR) en 2021, comme le troisième marché mondial derrière les États-Unis et la Chine. Bien qu’en légère croissance, il reste l’un des plus dynamiques au monde avec des consommateurs toujours avides de nouveautés. Ce marché reste porteur et joue toujours un rôle de référence, voire même de tremplin pour le reste de l’Asie, tant pour les grands groupes internationaux que pour de plus petites entreprises cherchant à s’exporter.

Ces dernières années, le marché de l’agroalimentaire en Chine a été marqué par les actualités géopolitique et sanitaire. La Peste Porcine Africaine (PPA) survient alors même que les frictions commerciales s’accentuent avec les États-Unis et précède la pandémie de Covid-19. Le ralentissement économique chinois a certes plutôt épargné la filière de l’élevage ; mais l’accumulation des deux crises sanitaires a profondément chamboulé l’offre et la demande. Les importations se sont ainsi multipliées, et les origines d’importations ont été fonction des conditions sanitaires et géopolitiques de chaque pays. Sur ce plan, la France jouit d’une excellente réputation en termes de qualité alimentaire et de procédures sanitaires, cumulée à un dialogue ouvert avec les autorités chinoises.

Le secteur de la santé taïwanais s'est développé, notamment grâce à l'offre internationale, et se voit confronté à une demande toujours croissante. La crise sanitaire a peu affecté l’économie taïwanaise, au contraire, elle a même offert de belles perspectives de croissance dans le secteur de la santé pour un très grand nombre d’entreprises taïwanaises. Ces évolutions font de Taïwan un marché stratégique offrant des perspectives de croissance pour les entreprises françaises, lesquelles bénéficient déjà d'une réputation bien établie de qualité et de fiabilité et figurent parmi les principaux fournisseurs de Taïwan en matière de santé. Ce document présente l’état du marché taïwanais de la santé incluant le secteur pharmaceutique, le secteur biotechnologique, les équipements et dispositifs médicaux, ainsi que les débouchés potentiels pour l’offre française.

Le secteur minier joue toujours un rôle prépondérant dans l’économie : La valeur de la production a dépassé pour la première fois la barre des 1 trillion ZAR (59,71 MDS EUR). Le secteur représente 8,7 % du PIB (Produit Intérieur Brut) en 2021 pour les seules activités d’exploitation, et 46 % des exportations en valeur. Aujourd’hui, la nouvelle stratégie minière du pays est de sortir de sa dépendance historique à l’or pour se concentrer sur les minerais utilisés pour la transition énergétique et principalement la production de véhicules électriques, de batteries et d’hydrogène. Il existe donc des opportunités pour les entreprises françaises de ce secteur qui proposent des produits adaptés à ce marché.

Le Royaume-Uni est un marché idéal pour la France car c’est un marché fortement dépendant des importations et proche géographiquement. Le marché des produits gourmets et d’épicerie est à la hausse depuis 2004, et l’offre française dispose de nombreux arguments : un savoir-faire reconnu, une bonne qualité gustative et nutritionnelle des produits, une bonne traçabilité ou encore une forte communauté française sur place.

L’Espagne est aujourd´hui l'une des industries ferroviaires les plus avant-gardistes et dynamiques de l’Union européenne, grâce à la mise en place d'un Plan Stratégique d'Infrastructures de Transport (PEIT) qui a consacré en moyenne 7 Mds EUR d’investissements par an au secteur ferroviaire depuis 2005. Le fort soutien des pouvoirs publics espagnols combiné aux importantes aides octroyées par les fonds européens auront permis à l’Espagne de rattraper rapidement son retard en matière d’infrastructures de transports. Forte d’une chaîne de valeur unique et compétitive, l’industrie ferroviaire espagnole est aujourd’hui présente dans plus de 95 pays. Elle est considérée comme l’une des références mondiales en matière de conception, génie civil, signalisation, gestion du trafic, fourniture de matériel roulant, exploitation et maintenance de réseaux. L’Espagne a également acquis au cours des 20 dernières années une grande expertise en matière de grande vitesse. En 2021, elle possède le réseau ferroviaire à grande vitesse le plus étendu de l’Union européenne (3 402 km de lignes mises en service), devançant des pays pionniers comme la France, l’Allemagne ou encore le Japon. À l’échelle mondiale, seule la Chine dispose d’un réseau à grande vitesse plus vaste. Le secteur ferroviaire, considéré comme l’un des piliers stratégiques de la mobilité durable et l’un des principaux moteurs de développement socio-économique de l’Espagne, continuera de bénéficier du soutien financier du ministère des transports, de la mobilité et de l’agenda urbain au cours de la prochaine législature. En 2021, 4,8 Mds EUR seront alloués au secteur, ce qui représente plus de 47 % des investissements du ministère. Parmi les principales priorités du ministère figurent la modernisation du réseau de trains de banlieue et du réseau conventionnel (achat de nouvelles flottes de trains et travaux sur les infrastructures), la poursuite du déploiement du réseau à grande vitesse et la gestion de la libéralisa