•Portées deux heures avant d'aller vous coucher, les lunettes GoodNight filtrent au maximum les "lumières bleues" émises par les écrans de téléviseurs, ordinateurs, tablettes ou autres smartphones.

•Protégés par les filtres de GoodNight, les récepteurs photosensibles de la rétine de l'œil peuvent alors lancer la création de mélatonine, l'hormone du sommeil, et assurer un sommeil 100% naturel. Cela même si l'on passe ses soirées devant un écran.

•GoodNight préserve aussi des ondes courtes des ampoules à basse consommation d'énergie,

dont l'INSERM vient de confirmer les dangers.

Toutes les études scientifiques le confirment : les ondes très courtes des "lumières bleues" perturbent profondément le rythme naturel de production de la mélatonine, l'hormone qui règle notre cycle de sommeil. D'où une bonne part des troubles du sommeil dont souffrent, en France, près d'une personne sur deux.

Ce problème va encore s'aggraver avec la généralisation des ampoules à basse consommation d'énergie, qui émettent également des ondes ayant un puissant impact négatif sur la production de mélatonine. En effet, pour une même intensité lumineuse, ces nouvelles ampoules activent près de cent fois plus les récepteurs photosensibles de la rétine oculaire qu'un éclairage traditionnel. Or, ce sont justement ces photorécepteurs qui stimulent - ou non - votre production naturelle de mélatonine.

Lunettes plutôt que somnifères

En France, il se vend quelque 136 millions de boîtes de somnifères ou tranquillisants par année. Les troubles du sommeil sont donc un formidable enjeu de société, d'autant qu'ils peuvent induire bien d'autres problèmes de santé, chez les adolescents comme chez les aînés (voir www.goodnight.swiss).

Développer une solution : c'est le défi relevé par Eugène Duvillard, optométriste suisse, passionné de recherche, détenteur d'un Master of Sciences in Clinical Optometry de la Salus University de Philadelphie (USA), qui est à la pointe mondiale des technologies de l'op