Les partenaires étrangers doivent, selon les dispositions du nouveau cahier des charges, s’associer effectivement aux opérateurs nationaux en prenant des parts dans le capital des sociétés à l’origine de montage.

Le taux d’intégration qui a fait défaut jusque-là est aussi traité dans le nouveau cahier des charges en faisant obligation aux partenaires de mobiliser leurs sous-traitants et équipementiers afin d’aider les entreprises nationales à augmenter le taux d’intégration en vue d’encourager la création d’une industrie de sous-traitance. Ceci en plus de l’obligation de réserver une partie de la production à l’exportation. Les principales conclusions de cette première étape portent principalement sur l’exigence, à moyen terme, d’exporter une partie de la production.

Le texte en voie de finalisation sera soumis aux concernés pour enrichissement dans un souci de consultation et surtout de consensus au bénéfice d’une industrie pérenne. L’objectif de ces consultations est de parvenir à un texte consensuel qui implique, sans exclusion, toutes les parties prenantes concernées par cette activité