Les dépenses publiques et privées pour l’achat de médicaments en pharmacie (parapharmacie et corner GMS inclus) se sont élevées à 17,1 Mds EUR (-2,7 % par rapport à 2017). Cette dépense pour les médicaments distribués en pharmacie s’est élevée, en 2018, à 283 EUR par habitant (inférieur de 40 % par rapport à la moyenne européenne, qui s’élève à 415 EUR par habitant).

L’Italie est un acteur de premier plan dans les secteurs de la mode et des accessoires. Selon le rapport de Fashion Economic Trends (Fet) et de la Chambre italienne de la Mode, la production italienne du secteur a atteint 90 237 Mds EUR en 2019, en croissance de 0,8 % par rapport à 2018 et essentiellement grâce aux exportations.

L’Italie est un acteur de premier plan dans le domaine de la production textile et habillement moyen/haut de gamme. Selon le report Fashion Economic Trends (Fet), élaboré par la Chambre italienne de la Mode et qui analyse les secteurs du textile, de la maroquinerie, de l'habillement et de la chaussure, la production italienne atteint les 90,237 Mds EUR, avec une croissance de 0,8 % par rapport à 2018, et cela essentiellement grâce aux exportations.

En 2018 (dernières données disponibles), les dépenses sanitaires publiques ont atteint près de 116 Mds EUR, +1,6 Md EUR par rapport à l’année précédente. Les dépenses sanitaires privées ont atteint 32,2 Mds EUR. En 2017, le marché italien des dispositifs médicaux représentait 11,4 Mds EUR, dont 66 % générés par la santé publique et 34 % par la demande privée (dernières données disponibles).

La pratique du sport en Italie représente une dépense de l’ordre de 3,8 Mds EUR par an dont 2/3 sont dédiés à l’activité et 1/3 à l’achat de vêtements et matériel. La production Made in Italy est représentée à 55 % par l’habillement, à 27 % par le matériel de sport et à 18 % par les chaussures.

Selon les dernières données de Cosmetica Italia, fédération italienne des industries cosmétiques, l’Italie est le 4e marché européen après l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni, pour une consommation interne en 2019 de 10,35 Mds EUR, dont 4,133 Mds EUR proviennent de la grande distribution. 

Les caractéristiques du marché : taille, concurrence et positionnement de la France, opportunités pour l'offre française, clés d'accès.

L’Italie est un pays pionnier historiquement connu pour sa forte appétence pour la Tech et la téléphonie mobile en particulier. Après l’attribution des licences aux opérateurs télécom, le déploiement de la 5G en Italie a démarré parmi les 1ers pays en 2019, avec désormais l’objectif commun de couvrir 98 % du territoire avant 2030. La France est un partenaire privilégié de l’Italie et les perspectives de développement appliqué à la 5G sont nombreuses pour les entreprises françaises dans des secteurs tels que la cybersécurité, l’e-commerce, la logistique, l’agriculture connectée, la ville intelligente, l’e-santé, le service client, etc.

Les consommateurs italiens sont de plus en plus attentifs aux critères de qualité des produits mais aussi à consommer de manière durable et responsable. Les distributeurs recherchent de plus en plus des produits sans huile de palme, sans OGM, sans colorants, sans gluten, avec un minimum d’additifs et de contaminants. Les produits bio sont en constante progression. Les emballages « green » sont de plus en plus prisés. Le temps dédié à cuisiner chez soi tend à se réduire, en effet, les « instant food » sont en hausse de 9,3 %.

Les IAA n’échappent pas à la polarisation qui caractérise l’industrie italienne avec quelques opérateurs de dimension moyenne à grande, mais modeste à l’échelle internationale, et une multitude de petites entreprises.

Les productions animales représentent 31,2 % de la production agricole italienne. Le nombre d’élevages, en diminution avec la disparition des petites structures, reste conséquent. Les grands élevages intensifs, qui représentent l’essentiel de la production de viande ou de lait, sont localisés dans le nord du pays. Les filières élevages italiennes sont à la recherche de solutions innovantes en mesure de satisfaire l’attente du marché en matière de bien-être animal, environnement et alimentation saine (sans OGM, sans hormones..).

L’Italie est le premier marché européen pour les compléments alimentaires et représente 3,5 Mds EUR en 2019, enregistrant d'année en année une croissance constante. Une belle opportunité de développement pour les fabricants français de compléments alimentaires: en dépit de la crise sanitaire, le secteur ne devrait pas être pénalisé car le volet santé reste majeur pour les consommateurs. Il convient néanmoins de se positionner avec une offre innovante sur le plan de la formulation, un packaging attractif pour convaincre les partenaires que seront les distributeurs italiens.

Cette fiche présente les caractéristiques et les clés d'accès au marché italien de la vitivinculture.

5e producteur européen de lait de vache, 3e pour le lait de brebis, petit producteur de lait de chèvre, l’Italie est un pays déficitaire en produits laitiers. Le taux d’auto-approvisionnement est de 78 % de 2019. Outre le recours de l’industrie laitière nationale à des importations de lait en vrac et de fromages pour la transformation, le marché de consommation est couvert par les importations à hauteur de 48 % pour les yaourts et laits fermentés, 38 % pour les fromages, 17 % pour le lait conditionné.

L’Union européenne et le Mexique ont conclu fin avril les négociations sur leur nouvel accord commercial. La prochaine étape est la signature et ratification de l’accord par les deux parties. Avec ce nouvel accord, la quasi-totalité des échanges de biens entre l’Union européenne et le Mexique seront exempts de droits de douane et les procédures douanières seront simplifiées pour stimuler les exportations. L’accord intègre de nouvelles règles en matière de développement durable, mais aussi la protection des droits de l’homme et la coopération politique et coopération au développement.

Le 15 mai 2020, la Commission européenne a publié le planning de lancement des premiers modules de la base EUDAMED. Cette dernière sera mise à disposition par modules. Le premier module pour l’enregistrement des opérateurs économiques (fabricants, mandataires et importateurs) sera disponible dès mars 2021. Le deuxième module pour l’enregistrement des dispositifs et de l’Identifiant unique des dispositifs (IUD) sera disponible en mai 2021. Le troisième module concernant les organismes notifiés et les certificats sera disponible également en mai 2021.

Le 19 mai 2020, la Commission européenne a publié le règlement (UE) 2020/666 qui introduit des dérogations à la désignation et la surveillance des organismes notifiés. L’objectif est de leur permettre de poursuivre leur activité selon les directives sur les dispositifs médicaux (90/385/CEE et 93/42/CEE) jusqu’au 25 mai 2021, afin de faire face à la situation exceptionnelle créée par le Covid-19.

La Commission européenne a lancé le 19 mai 2020 un nouvel appel à candidatures avec une date limite de dépôt des dossiers fixée au 11 juin 2020. Cinq thèmes ont été retenus, avec un budget total de 122 M EUR.